Bâtiment et Construction : Nécessité de transformer les idées innovantes en produits industriels

La transformation d’idées innovantes en produits  industriels dans le secteur de la construction doit être promue dans un but  économique, écologique et de bien-être, a indiqué samedi le directeur  général du Centre national d’études et de recherches intégrées du bâtiment (Cnerib), Hamid Afra.
Lors de la 1ère édition du challenge sur l’innovation dans la  construction, M. Afra a estimé que les centres de recherche produisent ou  améliorent des connaissances dans le cadre de l’innovation mais les  chercheurs peinent à transformer cette connaissance en produit industriel. Ainsi, selon lui, ce type de challenge permet de drainer les idées innovantes dans le domaine de la construction au sens large et pouvoir  réaliser un transfert de technologies entre les unités de recherche et le  secteur industriel.
Présent à cet évènement, dont la société fait partie des sponsors de ce  challenge, le directeur marketing du Groupe des Sociétés Hasnaoui (GSH)  activant principalement dans le BTP, Samir Douar, a expliqué à l’APS que  l’innovation dans ce secteur doit être encouragée par les donneurs d’ordre  à travers des projets-pilotes. “Outre les promoteurs immobiliers, l’Etat en tant que régulateur et  principal donneur d’ordre, peut jouer un rôle dans la création d’une  synergie au profit de l’intégration de l’innovation dans la construction”,  a-t-il indiqué.
Pour le représentant du GSH, la problématique pour le secteur industriel  de la construction est de sortir de plus en plus des systèmes  traditionnels, en cherchant des produits innovants.
Des innovations qui touchent en particulier les isolations phonique et  thermique, deux thèmes d’actualité au vu des changements climatiques et du  prix de l’énergie qui est appelé à grimper, soutient-t-il.
Concernant le challenge 2018 des idées innovantes dans la construction, 30  porteurs de projets ont été présélectionnés. Ils ont été coachés et ont  présenté leurs idées devant le jury, lors de la première journée de ce  challenge.
Les innovations concernent les matériaux et systèmes de construction  innovants, l’efficacité énergétique dans le bâtiment, la gestion des  risques majeurs, les matériaux d’isolation et les outils de modélisation  notamment.
Parmi les projets présentés figurent les concepts de briques améliorant  l’isolation phonique et thermique, la réduction du béton dans la  réalisation de dalles d’immeubles, le bâtiment producteur d’énergie,  l’utilisation du liège dans la construction et un béton de réparation à base de bactéries.  Les critères de sélection retenus regroupent l’attractivité du gain  économique, la réalisabilité technique, l’acceptabilité du coût et la  constitution d’une réponse à un besoin dans le secteur. Ce challenge vise essentiellement de jeunes chercheurs ou des étudiants.  Mais il est également ouvert à tous publics.
Quant au jury, il primera ce dimanche les trois meilleures idées  innovantes. Il est composé de cinq experts, deux internationaux et trois  Algériens dont deux membres du Cnerib.
Outre les trois projets primés, l’Agence nationale de valorisation des  résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet)  soutiendra les projets à travers le financement du fonds de la recherche  scientifique et un coaching de 18 mois pour permettre au produit du projet  innovant de se concrétiser.
N. B.
Source: http://www.lemaghrebdz.com/?page=detail_actualite&rubrique=Nation&id=91814

Sidi Bel Abbès : Les architectes plaident pour l’isolation thermique des constructions

Le président du Conseil local de l’Ordre des architectes (CLOA) de Sidi Bel Abbès, Baha Houari, a estimé, hier, que le recours aux techniques d’isolation par l’extérieur pour le revêtement des façades doit être généralisé à l’ensemble des programmes de logements publics.

«Les nouvelles techniques de revêtement des façades offrent de multiples avantages et des solutions adéquates pour une meilleure maîtrise d’œuvre», a souligné M. Baha, au terme d’une journée d’études tenue à l’hôtel Eden et organisée en partenariat avec le groupe de sociétés Hasnaoui.

Cette rencontre, placée sous l’égide du wali de Sidi Bel Abbès, Abdelhafid Saci, a regroupé un panel d’architectes, de bureaux d’études, de directeurs de l’exécutif et de représentants d’entreprises de réalisation. Dans son allocution d’ouverture, le chef de l’exécutif a qualifié cette journée de «rencontre technique d’actualité» dans le sens où elle constitue un premier contact avec «les parties (architectes, entreprises et bureaux d’études, ndlr) avec lesquelles l’administration travaille le plus».

Il a, en ce sens, exhorté les architectes à accorder l’attention voulue aux études de réalisation et à dégager des solutions pratiques pour faire converger les avis des uns et des autres quant à leur mise en œuvre dans un avenir proche. Prenant la parole, le directeur général du Groupe des sociétés Hasnaoui, Omar Hasnaoui, a mis l’accent sur l’importance que revêt le thème de cette journée d’études et la nécessité de sensibiliser les intervenants du secteur de la construction aux questions environnementales et d’économie de l’énergie.

«Procéder à l’isolation par l’extérieur avec des systèmes constructifs et des matériaux permet non seulement d’apporter une valeur ajoutée pour le logement réalisé, mais constitue également un investissement public», dira-t-il. L’utilisation de systèmes constructifs d’isolation thermique par l’extérieur contribue, à long terme, a-t-il expliqué, à rationnaliser la consommation d’énergie et permet une économie de l’ordre de 40%.

«Mieux encore, nous estimons que ces systèmes sont les plus appropriés pour les franges démunies de la société, car elles auront à payer moins cher leur consommation d’énergie», a-t-il assuré, tout en plaidant pour leur utilisation dans les programmes de réalisation de logements publics locatifs (LPL).

Concernant le coût de ce procédé, le directeur du GSH a indiqué que les études disponibles et les expériences menées à travers plusieurs projets ont démontré que le prix final d’un logement isolé ne peut être plus cher que celui réalisé avec un procédé traditionnel.

Au terme de cette journée, plusieurs recommandations ont été formulées par les participants, portant notamment sur la généralisation des nouvelles techniques de revêtement par l’extérieur et une large vulgarisation des systèmes constructifs proposés par les industriels du bâtiment.

Aussi, les participants à cette journée d’études ont convenu du lancement de journées de formation au profit de la main-d’œuvre spécialisée dans le revêtement des façades. Des formations adaptées que devra assurer le Groupe des sociétés Hasnaoui à titre gracieux, «pour valoriser les métiers du bâtiment», selon M. Baha.

Source:  https://www.elwatan.com/regions/ouest/bel-abes/sidi-bel-abbes-les-architectes-plaident-pour-lisolation-thermique-des-constructions-19-12-2018

Ecole nationale polytechnique de Constantine : Le projet du bâtiment à énergie positive avance à grands pas

L’idée qui avait germé, il y a près de deux ans, entre spécialistes pour lancer les prémices d’un ambitieux programme de recherche lancé par des cadres de l’Ecole nationale polytechnique de Constantine (ENPC) avance à grands pas.

Qualifi é par de nombreux intervenants de première en Algérie lors de sa présentation au mois de
février 2017, le projet de réalisation d’un Bâtiment pilote à énergie positive (BPEP), c’est-à-dire produisant de l’énergie plus qu’il ne consomme, a gagné durant ce bref parcours le soutien de nombreux partenaires, industriels, entreprises publiques et privées et surtout les autorités locales de la ville d’El Khroub.

Lundi dernier, lors de l’ouverture à l’ENPC des Journées techniques sur l’efficacité énergétique (JTEE), organisées les 17 et 18 décembre et consacrées en partie à l’évaluation des avancées de ce programme, des intervenants ont confirmé que ce projet sera d’une grande importance pour le développement du sens de l’énergie positive chez les citoyens et au sein des collectivités locales, en les sensibilisant sur les défis de l’avenir en matière de consommation rationnelle de l’énergie, tout en se projetant vers le recours aux énergies renouvelables et non polluantes.

«Ce projet est une action multidisciplinaire qui a pour objectif de réunir plusieurs acteurs nationaux pour le concrétiser, surtout qu’il demeure important pour l’Etat et les collectivités locales de trouver des moyens pour produire une énergie propre et non coûteuse.

C’est dans ce contexte que nous organisons ces journées pour un échange d’expériences entre les différentes parties», a noté le Pr Djamel Hamana, directeur de l’ENPC, organisatrice de cet événement sponsorisé par le Groupe des sociétés Hasnaoui (GSH), qui a marqué une forte présence dans le hall de l’école grâce à une exposition intéressante de ses produits, ayant attiré l’attention d’une foule d’étudiants.

Un projet avec des produits locaux

Suivie avec grand intérêt par les nombreux présents, dont des spécialistes en matière d’énergie, des experts, des architectes, des enseignants et d’étudiants de l’ENPC, l’intervention du Pr Abdelhamid Aberkane, ex- ministre de l’Enseignement supérieur, et ex-maire de la ville d’El Khroub, a apporté beaucoup d’eau au moulin des promoteurs du projet du «bâtiment intelligent».

Il dira à ce propos : «A travers ce genre de projet que nous avons soutenu dès son lancement, il est
impératif de sensibiliser la société sur cette problématique de l’économie d’ énergie, pour parvenir à développer le concept de la ville intelligente, il est aussi important d’avoir une vision éthique et morale, car il ne s’agit pas d’une question purement technique, mais il faut aussi trouver des solutions aux défi s qui se posent dans la gestion des villes et qui touchent tous les aspects de la vie des citoyens.»

Une intervention qui donne toute son importance à un projet, dont le point le plus positif demeure dans sa conception basée sur l’intervention de partenaires nationaux et avec des moyens produits localement. Dans ce contexte, l’on saura à travers l’exposé présenté par Dr Semmari, enseignant à l’ENPC et cheville ouvrière de ce projet, que depuis son lancement, il y a près de deux ans, l’idée à réussi à emballer déjà dix partenaires, dont des organismes nationaux, des bureaux d’études, des entités économiques, en plus du soutien de l’APC d’El Khroub, exprimé à travers son président, le Dr Bouras, présent à l’ouverture de ces journées techniques.

Des contacts sont en cours pour faire adhérer d’autres partenaires qui pourront apporter un plus dans la concrétisation du projet.

Mais il faut dire que les choses tendent vers l’optimisme, surtout que l’étude menée durant 24 mois a permis de jeter les bases sérieuses en matière de recherche des solutions optimales, à travers les données sur le comportement humain, l’impact des surfaces des fenêtres, de la protection solaire, du vitrage et de la variation de l’épaisseur de l’isolant.

Des résultats qui restent à optimiser pour un meilleur rendement pour un bâtiment appelé à produire de l’énergie plus qu’à en consommer. Le projet, qui a démarré difficilement au mois de février 2017, suscite déjà beaucoup d’enthousiasme parmi différents acteurs dans le domaine du bâtiment et de la rationalisation de la
consommation de l’énergie dans une période marquée par une sérieuse crise énergétique.

Le projet a déjà fait de grands pas, surtout qu’il demeure réaliste et réalisable pour apporter des solutions durables et surtout économiques.

Pour rappel, l’assiette qui devra abriter le projet est située juste à proximité de l’école, à quelques encablures du bloc administratif, sur une superficie d’environ 250 à 300 m2.

Elle abritera un bâtiment surélevé, qui bénéficiera d’une bonne dose d’ensoleillement et d’un couloir d’air. Ce qui en fera un lieu idéal.

Source: https://www.elwatan.com/pages-hebdo/etudiant/ecole-nationale-polytechnique-de-constantine-le-projet-du-batiment-a-energie-positive-avance-a-grands-pas-19-12-2018

Mr Hasnaoui Omar directeur général de MDM, Strugral Producteur des profilés, des fenêtre et porte en Aluminium : « La série 42 000 a raflé toutes les parts du marché »

BTPDZ : Contrairement aux gammes riches colorées exposées sur les salons, comme SIFFP, nous remarquons malheureusement qu’un type de modèle et couleur de fenêtre sur les nouveaux bâtiments. Qu’on est-il du marché notamment de votre segment à base de profilé en aluminium ?

Hasnaoui Omar, dg de MDM et Strugral : Il est certes que le marché est actuellement dominé par la série 42 000, dite économique et  plus basique en terme de profilé aluminium. Ce système qui a certes raflé toutes les parts du marché. Mais, il ne garantie aucune isolation : ni acoustique et ni thermique. Aujourd’hui, le client est conscient que ce produit là, ne répond pas à ses exigences, il n’offre aucune isolation, même pas au moindre sifflement de vent. Perméable à l’air chaud, froid ou bruit de pénétrer dans l’appartement. Le client a appris à ses dépends, et  devient  ainsi de plus en plus exigeant et regardant  sur tous les détails. Des systèmes beaucoup plus performant existent  et disponible, et notre objectif dans le groupe des sociétés Hasnaoui, est de ne pas faire dans l’exclusion d’un système 42 000, mais, de proposer des produits de bien meilleure qualité, ainsi hisser le niveau avec des matériaux qui répondent à la norme d’isolation actuelle européenne. Nous avons commencé, rappelez-vous par l’isolation par un système d’enveloppe du bâtiment, par l’extérieur, ensuite nous l’avons complété par un profilé thermique et acoustique à la fois.

#De quel façon serait-il possible d’élever ses normes, si on continu à produire la même série économique à l’achat ou d’importer sachant que les produits à l’import sont fortement taxés ?
Ces systèmes de meilleure qualité ont toujours existé, ils étaient à 100% importés, mais aujourd’hui nous les produisons en local. Nous offrons une solution de système complète d’isolation par l’enveloppe des murs du bâtiment, fenêtre et porte. De plus en plus de systèmes sont produits en Algérie. Donc, Il faut donner le choix au client algérien. Nous concernant, nous produisons plusieurs systèmes de profilés de menuiserie aux normes européennes. C’est une véritable alternatives de choix.

#De quelles normes s’agit-il ?
La  norme de confort qui est relative à la résistance et l’isolation en terme thermique, acoustique ou phonique, de la qualité des matériaux de l’alliage. Nous étions le premier fabricant par extrusion à être certifié, qualicoat. La première usine d’extrusion en Algérie à voir décrocher ce label. Ce qui prouve notre engagement international et proposer de la qualité sur le marché algérien. Nous ne voulons pas participer à répondre les mêmes problématiques qui existent par ailleur.

#Cela nous amène à votre target, j’imagine que vous n’êtes pas sur le segment de masse…
En effet, nous sommes positionné sur un marché de haut de gamme, nous travaillons pour tirer le marché vers le haut en terme de production de profilé par extrusion dans la fabrication des fenêtre et pose. Il faut un accompagnement sur Le marché, sans cette maitrise de toute chaine forcement d’autres problèmes de qualité d’imperfection vont tôt au tard nous rattrapé, comme c’est le cas par ailleurs.

#Qu’en est-il de la cohabitation entre vous en tant que fabricant de profiles et les menuisiers qui importent leur profilés au lieu d’acheter chez vous et  considèrent que le profilé est un intrant ?
Dans un passé récent le profilé européen était importé mais il a connu des hausses vertigineuses, c’est pour cela que le client algérien s’est rabattu sur la série économique. Aujourd’hui, la série économique a démontré aux consommateurs ses limites. Le client est à la recherche d’un produit qu’il lui assure une meilleure qualité d’isolation que nous produisons par extrusion ici , ce qui  a permis  de réduire considérablement le prix, de 30% par rapport à l’importation.

Le fabricant menuisier dit que le profilé est un intrant et ne devrait pas être subordonné à une taxe, qui selon certains est appelé à augmenter pour protéger les producteurs, qu’en pensez-vous en votre qualité d’extrudeur et de menuisier à la fois ?
Je n’ai pas eu vent, mais nous avons qu’a applaudir cette initiative. Pour nous cela, nous arrange, nous sommes pas gêné puisque nous sommes déjà producteur. En effet, il faut protéger l’outil de production national et pousser les extrudeurs de système à valeur ajouté thermique et acoustique. Pour aller plus loin, nous attendons aujourd’hui, une normalisation de la qualité et de standardiser cette norme pour nous permettre à certain de tirer vers la qualité vers bas. C’est pour cela que nous faisons  tant d’efforts à l’endroit des bureaux d’études, afin de proscrire la qualité. La menuiserie aluminium devrait travailler sur des normes en utilisant des profiles normés. Nous travaillons beaucoup pour que les citoyens ait accès à ce confort. Le client en général est mal informé et les professionnels de cette filière n’est pas soumis à une norme. L’objectif avec tout ce travail de communication est d’arriver à instaurer un minimum de confort acoustique, thermique …

 Comment y parvenir à établir ce minimum et sur quel base ?
J’insiste sur le système 42 000 qui n’est qu’un système de profilé qui ne répond à aucune norme et pareil pour la quincaillerie ou accessoires utilisés. L’autre problématique récurrente sur le marché algérien des profiles ou ses accessoires sont des produits de recyclage importés dont les ajouts ne sont pas forcement des éléments de qualité. Ce n’est pas logique de voir une menuiserie aluminium complètement rouillé, ceux-ci  veut dire que les intrants ajoutés sont des métaux et non pas que de l’aluminium pure. Et pour cela il faut qu’il y ait un contrôle des processus de production et  instaurer des règles. Notre avantage, nous faisons pas de recyclage et nous n’utilisons pas de produit de recyclage, pour assurer et garantir une qualité, de finitions et durabilité des produits.

#Selon vous  existe t-il un organisme certificateur ou une association qui protègerait toutes ses normes de qualité ?
Nous sommes adhérents et membre de l’association des extrudeurs algériens, notre objectif est d’améliorer les conditions du marché, agir et se mettre d’accord sur une politique tarifaire et travailler sur des produits à forte valeur ajouté et développer un savoir faire et faire barrage à la concurrence déloyale notable sur les systèmes basiques.

#Revenons sur les systèmes que vous produisez ?
Nous avons un problème de riche. Nous avons une large gamme. On gère au niveau de l’usine une centaine de milliers (100 000) références. On parle d’une dizaine de systèmes, et chaque système c’est une dizaines de profilés rajouter  à cela le type de couleur, ce qui nous donnent, un chiffre exponentiel de type de profiles dans la même usine. Nous avons une gamme assez varié pour répondre à toute demande du marché. De la promotion immobilière au marché du logement social.

# Est ce qu’il ne serait pas plus judicieux de séparer les extrudeurs des menuisiers et des poseurs au lieu d’être tout à la fois ?
La problématique aujourd’hui est que le bas de gamme a pris le dessus sur toutes les offres de qualité supérieurs. L’autre problème est dans la pose. Vous pouvez suggérer le meilleur profilé qui soit, s’il est mal usiné et mal posé, la fenêtre est ratée. Donc beaucoup ont dû revenir et font la pose en formant et recrutant en interne des poseurs pour assurer cette qualité. Mais il y a un effort à faire, aujourd’hui en terme de formation. Ce que nous faisons actuellement nous avons lancé des programmes de formations sur nos  nos systèmes à l’endroit des jeunes entrepreneurs qui veulent sans lancer dans la pose, ou la menuiserie. La pose des fenêtres ou porte est un vraie métier qui nécessite une expertise et un savoir sur le système usiné. Le menuisier transformateur du profilé Alu, n’est jugé qu’une fois posé. Nous essayons de les sensibiliser surtout sur le détail de la finition et surtout de s’équiper en outillages nécessaire, etc.

# Comment avez vous réussit le maillage des poseurs ?
Aujourd’hui nous sommes présent sur le territoire national à travers un réseau de distribution de 35 agents, en plus des menuisiers que nous formons à la pose dans nos ateliers. Nous aussi, nous avions les mêmes contraintes que nous avons levé, lorsque nous travaillions pour les besoins du groupe et le marché de proximité. C’est tout ce savoir faire que nous essayons de dupliquer sur le marché, à former des transformateurs et des poseurs sur nos systèmes et pièces accessoires de qualité. C’est certes des détails mais sont important et impactent sur la qualité d’isolation.

#Revenons sur une question du marché entre cette bataille que se livre le PVC et l’Alu..
C’est les frères ennemis. Honnêtement, ils se font concurrence, car déjà d’emblée, le pvc est moins onéreux que l’Alu, et de ce fait il nous concurrence sur le marché à la commande publique. Mais en terme de qualité l’Alu est nettement mieux. Nous même, durant les années 1990 nous proposions des solutions en Pvc que nous avions abandonné, car le Pvc vieillissait très mal, contrairement à la menuiserie aluminium. Si on veut investir sur le long terme le choix est l’Alu et sur le court terme, c’est l’option Pvc qui convient. Alors, il faut savoir que la menuiserie Alu développe une résistance à l’uv, contrairement au Pvc non traité, et je peux vous garantir, qu’en Algérie ceux qui est proposé n’est pas traité et souvent les profilés proposés sont non conforme aux conditions climatiques, parce que les menuisiers ne sont pas formés à quel  type à utiliser d’une région à une autre. Les clients sensibilisés, à la qualité et le haut de gamme s’oriente vers la menuiserie Alu, qui leur permettent aujourd’hui d’avoir des couleurs , beaucoup plus de type de finitions, contrairement au Pvc qui se limite à la majorité au blanc. Car le processus de production de couleur en Pvc est trop couteux, donc, il faut de gros efforts d’investissement.

 #Qu’en est-il de la consommation de l’énergie, les clients sont-ils sensibles à réduire leur facture en optant pour un système ?
Nous sommes entrain de défendre au prêt des pouvoirs publics la classe à faible revenu pour diminuer sa facture de gaz et d’électricité et c’est cette catégorie qui a plus besoin de cette isolation thermique. Donc nous sommes entrain de proposer pour ’utiliser nos solutions dans le logement sociaux. C’est cette population qui a le plus besoin de cette isolation.

 # Dernière question, qu’avez -vous présenté de nouveau sur ce Salon ?
Nous présentons en avant première des portes coupe feu pour le bâtiment et l’industrie. C’est la première unité de production des portes coupe feu en bois en Algérie certifiés pour des températures élevées et résistante à 30, 60, 90 mn.

Production des matériaux de construction: Le groupe Hasnaoui apporte sa pierre à l’édifice

En s’inscrivant dans la politique nationale de limitation des importations et de l’orientation vers le made in Bladi, notamment en matière de matériaux de construction, le groupe Hasnaoui s’est lancé dans la production de plusieurs produits qui rentrent dans le secteur du BTPH. «Dans le but de mettre en avant une offre globale qui se traduit par divers services tels que : la promotion immobilière, la réalisation BTPH, mais aussi plusieurs matériaux : agrégats, béton prêt à l’emploi, adjuvants pour ciments et bétons, mortiers secs prêts à l’emploi, menuiserie bois et aluminium, extrusion d’aluminium, transformation du fer et l’exploration et la transformation du marbre et granit. Le renforcement de la capacité de production nationale des matériaux de construction et l’efficience énergétique (sont) au cœur de notre participation à cette 21e édition», a indiqué le groupe. Dans ce sens, le BATIMATEC est l’occasion de promouvoir «nos solutions novatrices en matière d’enveloppe du bâtiment, notamment le système d’isolation thermique par l’extérieur et notre menuiserie en aluminium avec rupture de pont thermique». Dans le même contexte, le président du groupe, Omar Hasnaoui, a rappelé hier à la Safex que lors de l’édition 2017 du BATIMATEC, les produits du Groupe ont rencontré un grand engouement, notamment pour la qualité du marbre et du granit extrait de nos carrières de Tamanrasset. «Cela nous conforte dans notre démarche d’intégration, par la valorisation de cette filière, avec de nouveaux investissements permettant d’augmenter les capacités de production et d’atteindre, à moyen terme, les 10.000 m2 / jour», ajoutant que «les personnes présentes ont également fait part de leur satisfaction quant aux produits proposés par le groupe : nos portes intérieures en bois y ont connu un large succès. Cette année, les visiteurs auront l’occasion de découvrir la nouvelle gamme de portes coupe-feu». Notons que lors de l’édition 2018, GSH a prévu un espace de démonstration qui sera dédié à la «projection des mortiers prêts à l’emploi, afin de vulgariser la mécanisation des applications de revêtements car l’industrialisation est d’abord un facteur de productivité». Elle verra également la présentation en «exclusivité» des premiers modèles d’équipements de télésurveillance (caméras et enregistreur) montés en Algérie par HTA, la filiale Télécom du Groupe.

source: http://letemps-dz.com/?p=13602

Batimatec 2018 : Les opérateurs du bâtiment optimistes quant aux perspectives du secteur

La 21e édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, Batimatec 2018, accueille près de 1 000 participants dont plus de 400 étrangers, au niveau du Palais des expositions des Pins-Maritimes d’Alger.
Les acteurs de la construction assurent que le ralentissement de la commande publique n’a pas touché l’ensemble du secteur et se félicitent, d’autre part, de la révision de la liste de suspension à l’importation.
Certains échos ont fait état d’une moindre participation des opérateurs économiques locaux à cette édition du fait de la baisse des investissements dans ce secteur, mais les acteurs du bâtiment assurent que « le marché se porte bien ! » et confient même leurs perspectives optimistes pour l’avenir. « La construction ne concerne pas uniquement le logement social, il y a également les promotions immobilières et l’auto-construction, par exemple », indique Omar Hasnaoui, directeur général du groupe éponyme basé à Sidi Bel Abbès. Ce dernier segment, à savoir l’auto-construction, a un bel avenir devant lui, « car le citoyen algérien a la culture de bâtir lui-même sa maison ou la modifier », explique le même responsable.
Concernant le contexte national, les opérateurs du bâtiment assurent que des avantages existent bel et bien pour la production locale à travers notamment le prix de l’énergie « très abordable par rapport à d’autres pays», et une maîtrise de plus en plus grande des différents procédés créatifs de chaînes de valeurs, par les entreprises locales. « Nous ne voulons pas exporter du brut, mais plutôt le produit fini. Nous avons commencé à prospecter de futurs clients», indique Omar Hasnaoui à propos du marbre et du granit extrait des carrières à Tamanrasset, qui permet au groupe de produire 3 500 m2/jour et d’ambitionner d’atteindre « à moyen terme » 10 000 m2/jour. « Nous avons en Algérie des couleurs de marbre qui n’existent pas ailleurs ou dont les carrières ont fermé dans d’autres régions du monde », explique-t-il. Interrogés sur les estimations du march du BTPH, d’autres exposants ont noté qu’il s’agit d’un marché « difficile à estimer », du fait notamment de l’informel. « La régulation du marché doit être faite pour lutter contre l’informel. Un investisseur n’a pas assez de visibilité pour entreprendre de nouvelles activités », affirme-t-on. « Il faut que la norme soit citée et vulgarisée au niveau des cahiers des charges pour hisser la qualité de construction en Algérie », appelle le représentant d’une entreprise spécialisée dans la brique, les tuiles et les revêtements de sol.

Les céramistes se félicitent de la levée de suspension à l’importation
Par ailleurs, les exposants sont revenus sur les dernières évolutions politiques concernant l’encadrement des importations. Une mesure, faut-il rappeler, qui a été allégée pour desserrer l’étau sur plusieurs activités industrielles, notamment dans la céramique. « Les dispositions d’interdiction d’importation n’ont pas ralenti l’activité, celle-ci a été carrément stoppée », tient à témoigner Djamel Badreddine, responsable du commerce extérieur chez Ceram Decor. Il note en revanche une évolution positive de l’activité de l’entreprise sur les dernières années. « Nous produisions en 2015 jusqu’à 11 000m2/jour et grâce à nos extensions, nous parvenons en 2018 à 35 000 m2/jour avec un stock zéro», indique-t-il. De passage au Batimatec 2018, le président de l’Association des céramistes algériens (ACA), Mohamed Moncef Bouderba, confirme que la filière céramique « a connu beaucoup de problèmes depuis ce qui a été décidé en décembre ». M. Bouderba rappelle que des problèmes d’approvisionnement en matières premières ont été provoqués par « un glissement » de la liste établie par le ministère du Commerce vers des produits qui n’auraient pas dû être concernés. « Ce qui nous a porté préjudice et engendré un arrêt des investissements dans la filière », indique celui qui représente 35 sociétés de la filière céramique. « Nous sommes parvenus à obtenir gain de cause après des négociations très difficiles », assure-t-il. Ajoutant que la quantité de matière première dans la céramique produite en Algérie est à 40% du besoin national. « Nous échangeons régulièrement avec le ministère du Commerce pour assurer de bonnes conditions d’activité et promouvoir la production nationale », conclut le président de l’ACA.

Mr Omar Hasnaoui, nous exporterons du marbre et du granit dès fin 2018.

Fort des  12 entreprises spécialisées dont se compose son pôle Construction, le GSH offre aux opérateurs du secteur, algériens et étrangers, une solution globale couvrant tous les métiers liés au bâtiment.

 

« Nous comptons commencer à exporter le granit et le marbre algériens d’ici fin 2018», nous a déclaré Omar Hasnaoui, DG du GSH lors d’un point de presse qu’il a animé aujourd’hui au stand du Groupe à la Safex. Des perspectives  précises ? « Pas si facile que ça », nous explique-t-il. « Pour exporter, il faut être compétitif à l’international. Et pour être compétitif à ce niveau, il y a beaucoup de choses à faire. Il est vrai que nous avons des avantages, entre autres le coût de l’énergie, qui reste largement inférieur à celui d’Europe. Toutefois, ce n’est pas suffisant. Nous devons produire  beaucoup pour réduire les coûts fixes. Aujourd’hui, nous sommes à 3500 M2/jour. Nous avons une usine qui va entrer en production incessamment  pour atteindre les 10 000 M2/jours. Une telle production, nous permettra d’être compétitif et d’exporter», a-t-il affirmé en soulignant que des clients potentiels, notamment chinois, espagnols et  italiens sont intéressés par le marbre et le granit algériens.

Par ailleurs, présent à la 21ème édition du Batimatec à travers son pôle Construction, le groupe des Sociétés Hasnaoui  n’entend pas assurer une simple présence symbolique. Fort des  12 entreprises spécialisées, le GSH offre aux opérateurs du secteur, algériens et étrangers, une solution globale couvrant tous les métiers liés au bâtiment : la promotion immobilière, la réalisation BTPH, les agrégats, les bétons prêts à l’emploi, les adjuvants pour ciments et bétons, les mortiers secs prêts à l’emploi, la menuiserie bois et aluminium, la transformation du marbre et du granit, etc.  Pour ce faire, une intense compagne de marketing est dirigée vers les acteurs du secteur.

Au sujet de la crise que vit le secteur du  bâtiment, le directeur général du GSH a assuré que la celle-ci n’est pas aussi grave qu’on le croit. « Il est vrai que la commande publique a baissé sensiblement, toutefois, notre modèle à nous repose sur l’auto-construction et les promotions immobilières. Nous ne sommes donc pas impactés », nous a déclaré Omar Hasnaoui.

S’agissant de la solution IPTV que le groupe Hasnaoui a développé et veut commercialiser pour, d’une part, éradiquer les paraboles qui enlaidissent les façades des immeubles du pays et, d’autres part, aller vers une images de qualité, Omar Hasnaoui a indiqué que, tôt ou tard, on comprendra l’importance daller vers cette solution ». « L’IPTV s’est généralisée ailleurs et se généralisera même en Algérie. Il faut juste qu’on patiente un peu. C’est en bonne voie, » a-t-il assuré.

Pour précision, la vulgarisation de la solution IPTV en Algérie est bloquée pour des considérations réglementaires liées au monopole absolu qu’exerce Algérie Telecom sur la boucle locale.

https://maghrebemergent.info/finances/bourses.html

Le groupe Hasnaoui va bientôt exporter du marbre et du granit

Créée en 2016, Granittam Spa, une société du groupe Hasnaoui, fera une bonne moisson en 2018. Elle sera prête, dans quelques mois, à exporter du granit et du marbre vers l’Europe et la Chine. Omar Hasnaoui, directeur général du groupe, un sourire jusqu’aux oreilles, en parlait hier à l’occasion d’une visite guidée dans le stand de l’entreprise aménagé sur l’esplanade de la place de l’Unité africaine à la Safex où se tient le salon Batimatec-2018.

Il explique que “nos produits sont compétitifs et que nous allons les expédier vers des marchés internationaux compétitifs”. Granittam est spécialisée dans l’industrie de la pierre depuis sa phase initiale d’extraction jusqu’à la phase finale de transformation et de traitement.

Elle a l’ambition d’apporter de la valeur ajoutée par la valorisation des matières premières locales. Elle commercialise une gamme de produits sous forme de blocs bruts et de produits finis destinés au marché national et international, ainsi que le souligne Omar Hasnaoui. Par ailleurs, le groupe a fait de grands pas en matière de télécommunication. L’entreprise Hasnaoui télécom Algérie (HTA) fait parler d’elle. Elle a proposé, il y a quelques années, l’IPTV, une solution, adaptée, de télévision par câble. HTA n’a cependant pas pu la commercialiser sur l’ensemble du territoire national.

Mais cela va venir, assurément. On est sur la bonne voie, s’enthousiasme Omar Hasnaoui qui relève que cette solution permet aux abonnés de regarder la élévision mais aussi de se connecter sur Internet. Et, qu’elle devrait contribuer à faire disparaître les paraboles qui enlaidissent les façades des immeubles du pays.

Cette solution garantit, poursuit-il, aussi aux abonnés d’avoir une image stable et de haute qualité, ajoutant que lorsqu’une déconnexion Internet survient, l’abonné peut continuer à regarder la télévision sans risque d’interruption. Le groupe Hasnaoui a également présenté, à l’occasion de cette visite, des modèles d’équipements de télésurveillance montés en Algérie et développés par HTA. Les participants à cette 21e édition du salon Batimatec auront aussi l’opportunité de découvrir dans le stand du groupe Hasnaoui des solutions novatrices en matière d’enveloppe du bâtiment, notamment le système d’isolation thermique par l’extérieur, la menuiserie en aluminium avec rupture de pont thermique et la nouvelle gamme de portes coupefeu.

Un espace de démonstration sera dédié à la projection des mortiers prêts à l’emploi, afin de vulgariser la mécanisation des applications de revêtements, car l’industrialisation est d’abord un facteur de productivité.

Cette nouvelle édition du salon Batimatec sera également l’occasion pour le groupe de soulever les problématiques que rencontre le secteur du bâtiment, comme le renforcement de la capacité de production nationale des matériaux de construction et l’efficience énergétique.

Source: https://www.liberte-algerie.com/actualite/le-groupe-hasnaoui-va-bientot-exporter-du-marbre-et-du-granit-291630/pprint/1

Le Groupe des Sociétés Hasnaoui présentera ses solutions novatrices au BATIMATEC 2018

Occupant un stand à l’esplanade place de l’unité Africaine, GSH qui est partenaire de l’édition 2018 du BATIMATEC de cette édition, sera présent à travers ses filiales : SPI HASNAOUI, HTA, SECH, BTPH, TEKNACHEM, GRUPOPUMAL, MDM, STRUGAL, HASNAOUI-FCM, HTF, ALPOSTONE et GRANITTAM.

 

Le GROUPE DES SOCIETES HASNAOUI (GSH), Intégrateur de solutions globales pour le secteur du bâtiment annonce sa participation à la 21ème édition du Salon International du Bâtiment, des Matériaux de Construction et des Travaux Publics « BATIMATEC » qui se déroulera du 22 au 26 Avril 2018 au Palais des Expositions de la SAFEX des Pins Maritimes à Alger.

Occupant un stand à l’esplanade place de l’unité Africaine, GSH qui est partenaire de l’édition 2018 du BATIMATEC de cette édition, sera présent à travers ses filiales : SPI HASNAOUI, HTA, SECH, BTPH, TEKNACHEM, GRUPOPUMAL, MDM, STRUGAL, HASNAOUI-FCM, HTF, ALPOSTONE et GRANITTAM.

« Dans le but de mettre en avant une offre globale qui se traduit par divers services tels que : la promotion immobilière, la réalisation BTPH, mais aussi plusieurs matériaux : agrégats, béton prêt à l’emploi, adjuvants pour ciments et bétons, mortiers secs prêts à l’emploi, menuiserie bois et aluminium, extrusion d’aluminium, transformation du fer et l’exploration et la transformation du marbre et granit. Le renforcement de la capacité de production nationale des matériaux de construction et l’efficience énergétique vont être au cœur de notre participation à cette 21éme édition », écrit le Groupe dans un communiqué.

Selon la même source, le BATIMATEC sera l’occasion de promouvoir « nos solutions novatrices en matière d’enveloppe du bâtiment, notamment le système d’isolation thermique par l’extérieur et notre menuiserie en aluminium avec rupture de pont thermique ».

Pour rappel, lors de l’édition 2017 du BATIMATEC, les produits du Groupe ont rencontré un grand engouement, notamment pour la qualité du marbre et du granit extrait de nos carrières de Tamanrasset. « Cela nous conforte dans notre démarche d’intégration, par la valorisation de cette filière, avec de nouveaux investissements permettant d’augmenter les capacités de production et d’atteindre ; à moyen terme ; les 10 000 M2 / jour », explique la même source, ajoutant que « les personnes présentes ont également fait part de leur satisfaction quant aux produits proposés par le groupe : nos portes intérieures en bois y ont connu un large succès. Cette année, les visiteurs auront l’occasion de découvrir la nouvelle gamme de portes coupe-feu ».

Notons que lors de l’édition 2018, GSH prévoit un espace de démonstration qui sera dédié à la « projection des mortiers prêts à l’emploi, afin de vulgariser la mécanisation des applications de revêtements car l’industrialisation est d’abord un facteur de productivité ». Elle verra également la présentation en « exclusivité » des premiers modèles d’équipements de télésurveillance (caméras et enregistreur) montés en Algérie par HTA, la filiale Télécom du Groupe.

Source: https://www.maghrebemergent.info/entreprises-9/algerie/88343-le-groupe-des-societes-hasnaoui-presentera-ses-solutions-novatrices-au-batimatec-2018.html

Présent au Batimatec 2018: le groupe Hasnaoui annonce l’augmentation de la production de marbre et de granite

Le renfoncement de la capacité de production nationale des matériaux de construction et l’efficience énergétique dans le bâtiment sont au cœur de la participation au Batimatec 2018 du groupe Hasnaoui, intégrateur de solutions globales pour le secteur du bâtiment.

Ce fut l’occasion pour le groupe de présenter ses solutions en matière d’enveloppe du bâtiment, notamment le système d’isolation thermique par l’extérieur, mais aussi de revenir sur les perspectives de développement.  Le groupe présent à la 21ème édition du Batimatec à travers ses douze filiales et par le biais de son directeur général (DG), Omar Hasnaoui, annonce ainsi l’augmentation des capacités de production de marbre et de granite qui vont passer de 3500 à 10.000 tonnes par jour. Les unités de production sont d’ailleurs en montage, ce qui permettra d’aller vers d’autres marchés à l’exportation, notamment l’Europe et le Moyen Orient.

Le groupe Hasnaoui envisage par ailleurs de se lancer dans la production de résine. « Le projet est en cours de réalisation », annonce encore le représentant de la société. En attendant, le groupe mettra tout prochainement sur le marché (dans deux mois) des équipements de télésurveillance (caméras et enregistreurs) montés en Algérie par sa filiale Hasnaoui Télécoms Algérie (HTA). Une filiale qui a mis en place une solution de télévision par câble, l’IPTV sans pouvoir la commercialiser faute d’accord avec l’opérateur national Algérie Télécoms. « Mais, c’est en bonne voie », dit à ce sujet M. Hasnaoui, tout en affichant son optimisme quant à l’issue de ce projet.

Pour le groupe Hasnaoui, les projections s’annoncent également positives dans le secteur du bâtiment en dépit de la conjoncture économique.  « Nous sommes dans le segment promotion immobilière et à ce niveau, ça ne s’arrête pas. C’est un marché qui a un avenir en Algérie », conclut le P-DG du groupe éponyme et président de la filiale HTA. Un groupe qui est à dixième participation au Batimatec, ouvert le 22 avril dernier pour se poursuivre jusqu’au 26 du même mois, avec comme thèmes centraux l’innovation, la transition numérique, l’écoconstruction et l’industrie des matériaux de construction en cette période ou le cap est mis sur le renforcement de la production locale.

L’occasion est donc donnée aux professionnels du secteur afin d’échanger leurs expériences en la matière et de conclure des accords de coopération et de partenariat.

 

Source: http://www.algeriemondeinfos.com/2018/04/23/present-batimatec-2018-groupe-hasnaoui-annonce-laugmentation-de-production-de-marbre-de-granite/